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Féminisme, art et dissidence


Taha Siddiqqui, journaliste pakistanais, prix Albert Londres et réfugié politique vient d’ouvrir à Paris avec son épouse, Sara Farid, artiste photographe, le « Dissident Club », un bar dédié aux lanceurs d’alerte du monde entier. Le 07 mars prochain, pour célébrer la journée de la femme, il organise une exposition-conférence autour du féminisme, de l’art et de la dissidence, intitulée « La liberté en exil ».


« La liberté en exil », ou comment l’exil a permis à trois femmes artistes venues d’Iran, de Syrie et du Yémen, de conquérir leur liberté. L’exposition permettra de découvrir le travail d’Hura Mirshekari, peintre, celui d’Oruba Dieb, passionnée d’arts visuels et enfin celui d’Ahlam Jarban, street artiste.


Une « conversation », modérée par Sara Farid, elle aussi en exil, mettra en résonances ces destins de femmes bouleversés par l’histoire de leur pays ainsi que leurs regards sur cette expérience déchirante qui nourrit leur nouvelle vie…


C’est samedi soir !


Et il est impératif de s’inscrire pour venir : thedissidentclub@gmail.com

The Dissident Club, 58 Richer, 75009 Paris


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